Livre de Akira Yoshimura
Liberté conditionelle.
Le point de vue de L’éditeur.
Après quinze ans de d’incarcération,Kikutani
bénéfi-
cie enfin du principe
de libération conditionnelle.
Pris en charge par un
tuteur,il doit réappren-
dre à vivre en
société,ce qui représente pour lui
une angoisse d’autant
plus grande qu’il avait par-
faitement su s’adapter
à la prison.
Incapable de s’éloigner
du foyer de réinser-
tion,Kikutani loue un
studio à quelques rues de
là,trouve un emploi
grace au soutien de l’insti-
tution postcarcérale
et se compose peu à peu un
quotidien acceptable.Mais
alors que son compor-
tement est en tout
point exemplaire,son tuteur lui
Propose des
remarier.Et soudain tout bascule,
malgré ses efforts
kikutani dérive…
Shiro Kikutani purge
une peine de prison
depuis quinze ans,car
il a été condamné
à perpétuité pour les
meutres de sa femme,
de son amant,et de sa belle mère.
iL bénéficie d’une
libération conditionnelle.
A sa sortie de
prison,il est plaçé dans un foyer
Sous tutelle.Il trouve
du travail, un logement,
Essaie de s’insérer
tant bien que mal à la société
Prenant tout de même conscience
de l’évolution du cout de la vie,des changements
Architecturaux et
paysagers.Un peu plus tard par rapport
à son comportement
exemplaire son tuteur lui conseille de
Se marier,et,lui,trouve
une seconde épouse.
Cette femme ayant
envie de le voir obtenir toute sa liberté.
Lui demande comme la
loi et la coutume de leur pays le veut
De pratiquer des rites
religieux pour pardonner aux trois
Personnes qu’il a été
obligé d’assassiner, ce qu’il refuse de faire.
Et un jour, sur un
coup de colère, en rapport avec cette requête,
va commettre l’irréparable, tue malencontreusement
sa seconde épouse.
Dans ce roman c’est la
difficulté d’un homme rongé
par la jalousie, la
vangeance,qui refuse de pardonner.
J’ai beaucoup aimé ce
roman que j’ai pris un vrai plaisir à lire,
Akira Yoshimura nous conduit avec justesse
dans les méandres
de la réinsertion sociale des criminels.
Merci pour cette participation ! :)
RépondreSupprimerde rien Adalana!
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